Elections présidentielles américaines:
Pour ceux qui n’auraient ni internet, ni télé, ni radio et aucun accès à la presse écrite, encore une journée monopolisé par Donald Trump qui a mis fin à la polémique qui a lancé sa carrière politique, celle de la nationalité de Barack Obama, qui [serait] bien né aux Etats-Unis. Point final »
Quel soulagement pour Barack Obama et quel nouvel embarras pour Hillary Clinton, qui est désormais accusée par le wackadoo républicain d’être à l’origine du « birther movement« .
Peu importe qu’il ait entretenu la rumeur sur tous les plateaux télé ces cinq dernières années, peu importe qu’il se rétracte aujourd’hui sans s’excuser auprès du président, ou qu’il lance des calomnies contre sa rivale, ses supporteurs jubilent et la presse conservatrice frissonne.
Trump a mis les médias à sa botte, et sait que ses supporteurs se fichent de savoir si ses déclarations sont vraies ou non, donc pourquoi se priver? Du moment qu’on parle de lui, et qu’on relaye les accusations douteuses sur sa rivale, le boulot est fait.
Et c’est là où génie du milliardaire rencontre la crédulité de médias aveuglés par la dernière polémique capable d’attirer de l’audience: Ce matin, la presse nationale avait mis Trump en une.
Tous y ont plongé, et sérieusement: Le New York Times, le Washington Post, le Los Angeles Times, le Boston Globe, le Dallas Morning News et j’en passe …
Marc Jacob utilise les dreadlocks sans remercier la culture rasta
Une autre polémique durant cette New York Fashion Week, Marc Jacobs a été accusé « d’appropriation culturelle » hier pour avoir fait porter à ses modèles, la plupart blanches, des dreadlocks de couleurs, la dreadlock étant un attribut culturel des noirs.
Les médias sociaux n’ont pas apprécié: » Un(e) femme/homme noir(e) porte des dreads, et soient il/elle fume ou manque de professionnalisme. Marc Jacobs a un model avec des dreads, et c’est boho chic »
Le problème, c’est que Marc Jacobs, styliste de profession, s’est défendu sur Instagram, et a expliqué « respecter et [être] inspiré par des les gens et à quoi ils ressemblent. Je ne vois pas les couleurs et la race, je vois les gens » et la polémique est parti de plus belle.
Quant au coiffeur à l’origine de l’idée des dreadlocks, « il dit s’être inspiré des années 80, de la culture rave, Boy George et Harajuku » mais pas de la culture rasta, ce qui « absolument absurde ».
Crime
Vanessa Venelka dans GQ nous raconte l’histoire de sa possible rencontre avec Robert Ben Rhoades, un serial killer arrêté en 1990 qui enlevait des auto-stoppeuses et les gardait captives dans son poids lourd avant de les tuer et les déposer au bord de la route.
Il aurait fait une cinquantaine de victimes
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