Skip to content →

 

Happy Tuesday!

Des élections spéciales ont lieu aujourd’hui dans cinq Etats américains qui pourraient donner un avant-goût de celles de mi-mandat prévues en novembre prochain.

Les incendies continuent de brûler la Californie et le Secrétaire au Commerce de Donald Trump, Wilbur Ross, est accusé d’avoir volé 120 millions de dollars du fond d’investissement dans lequel il était partenaire.

Si vous souhaitez inscrire vos amis, votre famille, vos collègues à cette revue de presse, c’est une très bonne idée et c’est ICI  

 

 

 

 

1. Les quotidiens

  • Floride: « Stand Your Ground », la polémique continue

    Qui a commencé?

    C’est la question que tout le monde se pose depuis la mort de Markeis McGlockton dans le parking d’un supermarché [début juillet].
    Le tireur, Michael Drjeka, n’a-t-il pas provoqué l’incident quand il a voulu faire sa loi en confrontant la petite amie de McGlockton qui s’était garée sur une place réservée aux handicapés?

    « Tu ne peux pas provoquer une altercation et te cacher derrière ‘Stand you ground' » explique Michele Rayner, qui représente la famille de McGlockton, en évoquant cette loi controversée qui a permis à Djerka de ne pas être arrêté.
    Techniquement, c’est correct. La loi de Floride affirme qu’une personne ne peut invoquer « Stand Your Ground » si elle a « initialement utilisé la force ou menacer d’utiliser la force. »

    C’est pendant cet échange houleux sur le parking que McGlockton, prévenu par des témoins, est sorti du magasin, s’est dirigé vers Drejka et l’a jeté à terre. Drejka a ensuite tiré sur McGlockton en expliquant aux policiers de Pinellas qu’il avait peur d’être attaqué à nouveau.

    Mais difficile de savoir si cette partie de la loi fonctionne car selon des experts, elle ne s’applique pas lorsque la confrontation n’est que verbale, sauf en cas de menace de violence. Tampabay.com

     

    Les deux officiers qui avaient le pouvoir d’arrêter et d’inculper l’homme qui a tué Markeis McGlockton lors d’un argument autour d’une place de parking le mois dernier n’étaient pas à l’église baptiste St. John Primitive dimanche. Mais le militant des droits civiques Al Sharpton a adressé un message clair au shérif de Pinella, Bob Gualtieri, au Procureur de l’Etat, Bernie McCabe et aux défenseurs de la loi « Stand Your Ground » qui a protégé jusqu’ici le tireur Michael Drejka:

    « [Drejka] a tué un noir qui n’était pas armé et qui défendait sa famille. Arrêtez le ou rendez votre insigne. » tbo.com

     

 

  • Armes à feu: Justiciers contre policiers

    La mort d’un résident de Aurora qui défendait sa famille contre un intrus, tué par un officier de police, pose la question de la façon dont les forces de l’ordre répondent aux citoyens légalement armés, et comment ces citoyens communiquent avec la police dans ces situations de crise.

    La mort de Richard « Gary » Black a touché une corde sensible.

    L’ancien combattant et grand-père de quatre petits enfants a été tué par la police après utilisé son pistolet 9mm pour tuer un inconnu, complètement dévêtu, qui avait défoncé la porte de sa maison et attaqué son petit-fils de onze ans.

    « Avec le nombre d’armes en circulation dans ce pays, il faudrait davantage de travail pour comprendre » explique le représentant de la famille Black. « Vous possédez quelque chose de légal, qui fait partie de la fabrique de la société mais qui s’oppose à la façon dont les officiers sont entraînés: Dès qu’ils voient une arme, il y a danger.. Pressreader

  • Ohio: Une élection locale aux enjeux nationaux

    Si ce n’était pas pour le président Trump, personne ne parlerait de la douzième circonscription de l’Ohio.
    C’est parce que la course pour remplacer l’ancien Représentant Pat Tiberi ne devait poser aucun problème: Les Républicains enregistrés [sur les listes électorales] sont deux fois plus nombreux [que les Démocrates] dans cette circonscription du centre de l’Ohio, qui comprend la banlieue nord de Columbus et les comtés rurales qui l’entourent.
    Les électeurs ont largement élu Tiberi ces dernières années et soutenu Trump avec un écart de onze points en 2016.
    Mais les Républicains n’envisagent pas l’élection de demain de la même manière. Pour la première fois, la 12ème circonscription de l’Ohio est considéré comme incertaine.

    A cause d’une personne: le président Trump

    Le Républicain Troy Balderson un sénateur de l’Etat de 56 ans, attire les supporters de Trump et ceux du gouverneur John Kasich. Les deux Républicains, qui ont peu de choses en commun, soutiennent Balderson. Le Démocrate Danny O’Connor, un élu de 31 ans, attire les Républicains de la banlieue frustrés des propos de Trump et les progressistes effrayés par la politique de Trump. USA Today 

    Les Républicains ont dépensé quatre millions de dollars dans cette campagne, bien plus que leurs adversaires démocrates.

 

 

  • Pic de violence à Chicago

    Au moins 74 personnes ont été blessées par balles dans l’un des week-ends les plus violents de l’année à Chicago, notamment lors d’une période de sept heures, dimanche matin, au cours de laquelle quarante personnes ont été touchées.
    Entre quinze heures vendredi et lundi six heures du matin, douze personnes ont été tuées et 63 blessés, selon les données du Tribune. les victimes étaient âgées de onze à soixante deux ans et la plupart ont été touchées dans les quartiers du South et West Side.

    Vendredi, au moins 1 700 personnes avaient blessées par balles à Chicago depuis le début de l’année, moins que les deux années précédentes quand la violence a atteint des records mais plus que les années d’avant.

    Six des fusillades de ce week-end ont blessé quatre personnes ou plus dans une seule attaque, totalisant trente et une victimes dimanche.
    Les chiffres stupéfiants ont attiré l’attention des médias nationaux et donné lieu à une conférence de presse au cours de laquelle le chef de la police de Chicago, Fred Walker, a imputé la violence aux membres des gangs qui tirent dans la foule la nuit tombée. Chicago Tribune

     

 

 

 

2. Trumplandia: Ce fameux meeting

  • La rencontre au centre de l’enquête sur l’ingérence russe.

    L’année dernière, le New York Times révélait qu’une rencontre avait eu lieu dans la Trump Tower, en juin 2016, en pleine campagne électorale, entre Donald Jr., Jared Kushner and Paul Manafort, alors directeur de campagne du candidat républicain et une avocate russe liée au Kremlin, Natalia Veselnitskaya. 

    L’information a été fournie au gouvernement américain par Jared Kushner après que ce dernier s’est vu refusé une habilitation de sécurité – lui permettant d’accéder à des dossiers confidentiels de la Maison Blanche – pour avoir « oublié » de mentionner ses interactions avec les Russes.

    A l’époque, Don Jr, sur les conseils de son père, a menti à la presse sur la nature de cette rencontre, censée aborder la politique d’adoption entre la Russie et les Etats-Unis avant de devoir avouer, emails à l’appui, qu’il s’agissait obtenir des informations compromettantes contre Hillary Clinton, de la part du gouvernement russe.
    Une démarche légale selon lui, puisqu’elle s’apparente à de l’opposition research, cette pratique courante depuis les années 80 aux Etats-Unis qui consiste à collecter des informations embarrassantes sur un adversaire.

    Le président a toujours nié avoir eu connaissance de cette rencontre – même si son ancien, Steve Bannon et ancien avocat, Michael Cohen, affirment le contraire.

    Pour le procureur indépendant Robert Mueller qui enquête sur l’ingérence russe pendant la campagne présidentielle, c’est la preuve la plus tangible d’une collusion entre l’équipe du candidat républicain et le gouvernement russe.  

  • Trump reconnaît la rencontre.

    Ce week-end, Trump a confirmé dans un tweet que « son merveilleux fils » avait bien participé à un meeting « pour obtenir des informations sur un adversaire, ce qui est complètement légal et qui se fait tout le temps en politique » et qui n’a « débouché sur rien ».

    C’est l’admission saisissante d’un moment capital dans un débat international sur une collusion internationale – un moment capital scruté par le procureur indépendant pour les illégalités qu’il représente. Axios

    Sauf qu’obtenir des informations de la part d’un gouvernement étranger lors d’une campagne est interdite et que Trump a publiquement demandé à la Russie d’aller retrouver les 30 000 emails « perdus » de Hillary Clinton quelques mois avant les élections.

 

 

 

 

3. Trump ou le triomphe du « Negative Partisanship »

 

  • La photo de ces deux supporters de Trump, prise lors du dernier meeting du président dans l’Ohio samedi, vêtus d’un T-shirt proclamant « Je préférerais être Russe que Démocrate » résume « parfaitement la façon dont Donald Trump a transformé le parti républicain à son image » et permet clairement de « comprendre comment la haine des Démocrates a déformé le parti républicain, à travers le concept de « Negative Partisanship » nous explique Zack Beauchamp dans Vox.Le « Negative Partisanship », c’est convaincre les électeurs de son parti du danger que représente le camp adverse, alimenter chez eux une haine viscérale contre l’autre parti, si bien qu’ils iront voter, non pas pour le programme de leur camp mais contre celui du camp adverse.

    Ce phénomène, explique Jonathan Ladd, professeur à l’Université de Georgetown, est la raison pour laquelle les leaders et les électeurs républicains ont pu dépasser leur réticence envers Trump et voter pour lui: Ils préfèrent avoir un Républicain à la Maison Blanche, aussi inexpérimenté et excentrique, plutôt qu’un démocrate. 

    Le point important de ce concept est qu’il ne « s’agit pas de politique mais d’identité », et il devient très puissant quand les supporters d’un parti perçoivent le parti adverse comme « l’ennemi culturel, hostile à des gens comme eux, et qui doivent être battus à tout prix, quitte à s’aligner avec une autre puissance. »

    * « Trump’s Republican Party, explained in one photo » de Zack Beauchamp – Vox

 

 

 

 

 

4. L’assaut contre l’immigration légale

 

  • Après s’être attaqué à l’immigration illégale, l’administration Trump veut réduire les quotas de cartes vertes et de naturalisations en pénalisant les immigrés les plus défavorisés, ceux qui ont eu recours aux programmes fédéraux de protection sociale.

    La loi, qui peut être signée sans l’accord du Congrès, s’inscrit dans [le durcissement de la politique d’immigration] du conseiller de la Maison Blanche, Stephen Miller, et qui vise à réduire le nombre d’immigrés qui obtiennent chaque année un statut légal aux Etats-Unis.
    (…) Les immigrés vivant légalement aux Etats-Unis qui ont utilisé Obamacare, obtenu une assurance santé du gouvernement pour leurs enfants, des « food stamps » ou autres subventions pourraient se voir refuser un statut légal aux Etats-Unis.
    les avocats et associations affirment que ce serait le plus grand changement introduit dans le système d’immigration légal depuis des décennies et que 20 millions d’immigrés pourraient être touchés; les premiers étant les immigrés dont les emplois ne rapportent pas assez d’argent pour subvenir aux besoins de leurs familles.

    Encore une fois, toutes ces mesures « visent à protéger les contribuables américains en garantissant l’autosuffisance des ressortissants étrangers qui souhaitent rentrer ou rester aux Etats-Unis. »

    Tous les ressortissants étrangers qui dépendant du gouvernement pour plus de la moitié de leur revenus, considérés comme une « public charge », pourraient être concernés.

    * « Now The Trump Administration Wants To Limits Citizenship for Legal Immigrants » de Julia Ainsley – NBC News

 

 

 

 

 

 

5. InfoWars, interdit de réseaux

 

 

  • Rien ne va plus pour Alex Jones, figure de l’alt-right américaine, et fondateur du site conspirationiste InfoWars, dont la popularité a explosé durant la campagne présidentielle de 2016, grâce au soutien reçu par Donald Trump, qui est passé dans son émission et l’a personnellement remercié au lendemain de son élection.
    Le site accueille chaque mois 7 millions de visiteurs à qui Jones vend des suppléments alimentaires et qui ont fait sa petite fortune.Infowars, c’est l’un des sites de « désinformation » les plus populaires et influents des Etats-Unis, spécialisé dans les théories du complot autour de l’idée d’une « cabale mondiale de dirigeants politiques et directeurs d’entreprises qui contrôlent les institutions internationales pour laver le cerveau des citoyens et leur retirer leurs droits (et leurs armes): le 11 septembre est un « inside job »; Obama serait vrai chef de Al Qaïda; les Démocrates entretiennent des réseaux pédophiles ou encore que le Deep State prépare un coup contre Donald Trump.Mais la théorie la plus controversée véhiculée par InfoWars est sans nul doute celle selon laquelle la tuerie de Sandy Hook de 2014, où vingt enfants entre six et sept ans et six adultes ont perdu la vie, n’a pas eu lieu, et aurait été créée de toutes pièces par le gouvernement. CNN

     

  • Dimanche, Apple a décidé, dans le cadre de la lutte contre la désinformation, d’effacer les podcasts d’InfoWars.
    Lundi, Facebook, Spotify et surtout Google/ YouTube
    (2,4 millions d’abonnés) ont suivi en effaçant de leur plateforme les milliers de posts et vidéos accusant Jones de répandre un discours de haine.Absent des réseaux sociaux, InfoWars a perdu les principaux moyens de communiquer avec ses millions d’abonnés.

    Ces actions représentent un dilemme difficile pour les entreprises. Elles souhaitent depuis longtemps lutter contre la désinformation sur internet, mais hésitent à se faire les arbitres de la vérité.

    Depuis la montée en puissance de ces sites pendant les élections de 2016, les médias et politiques ont appelé les entreprises de haute technologique à assumer leur rôle dans la diffusion de fausses informations, à l’origine de divisions partisanes toujours plus profondes.
    Récemment, ces entreprises ont décidé provoquant les accusations de parti pris politiques, de la droite notamment.

    Twitter est désormais la seule plateforme à ne pas avoir interdit Alex Jones.

 

 

 

 

7. Le complot de Sandy Hook

  • Le problème d’Alex Jones et des théories du complot qu’il promeut, c’est que beaucoup de ses fans y croient et participent activement en ligne ou dans la vraie vie à leur promotion et diffusion, comme peuvent en témoigner les familles des victimes de Sandy Hook, le massacre de l’école élémentaire du Connecticut, victimes de harcèlement depuis des années. Mercredi dernier, les parents de quatre élèves et deux éducateurs ont intenté un procès en diffamation contre Jones et ses associés.Les parents du petit Noah Pozner, six ans, tué à Sandy Hook, ont dû déménager sept fois en cinq ans à cause de menaces de mort et harcèlement qu’ils ont reçu des supporters de Jones, et habitent aujourd’hui à des milliers de kilomètres de là où leur fils est enterré. NYTEn 2016, Reeves Wiederman, a publié une enquête déchirante sur « Lenny Pozner, [qui] croyait aux théories du complot avant que son fils en devienne une ».

    Lenny a sans doute été le premier parent de Newtown à découvrir des théories du complot qui affirmaient que son fils n’était pas mort, car il croyait sérieusement à certaines d’entre elles. « J’ai probablement écouté un podcast d’Alex Jones après avoir déposé mes enfants à l’école [le matin du massacre] » explique Pozner, en référence au propriétaire paranoïaque d’InfoWars.
    Pozner a cru à tout, des théories spécifiques – les premiers pas sur la lune étaient simulés – aux intrigues géopolitiques – les vraies raisons pour lesquelles le prix de l’or varie de manière si forte. Mais pour lui, l’attrait des théories du complot était comparable à celui d’un film de science fiction: « J’ai l’esprit assez imaginatif ».

    Quand il a découvert les premières théories sur Noah, Lenny n’a pas daigné répondre (…) Mais au printemps 2014, voyant le mouvement grossir, Pozner a décidé de répliquer en diffusant le certificat de décès de Noah, pour convaincre ceux qui ne l’étaient pas qu’il avait été tué, et son bulletin scolaire pour ceux qui pensaient qu’il n’avait jamais existé.
    Un vendredi soir, un an et demi après la tuerie, il a rejoint un groupe Facebook appelé Sandy Hook Hoax, l’un des plus populaires sur le sujet, et Pozner a proposé de répondre aux questions, en affirmant qu’il comprenait leur état d’esprit, « j’ai longtemps affirmé que le 9/11 était un ‘inside job' ». Certaines personnes ont posé des questions sérieuses sur les incohérences du rapport officiel [de la police de Newtown]. D’autres l’ont tout simplement insulté: « Va te faire foutre Lenny, toi et ta fausse famille de merde. »
    (…)
    Pozner a été exclu du groupe, mais certaines personnes l’ont contacté pour lui poser d’autres questions. « Une partie de la population voulait démystifier les faits » explique Pozner.
    « Tout ce qu’ils savent est ce qu’ils lisent sur internet, le buzz de toute cette désinformation, et quelqu’un devait leur fournir des informations exactes s’ils le voulaient ».

    Le lendemain, Pozner a lancé un groupe, « Conspiracy Theorists Anonymous » qui a pour vocation de rétablir la vérité sur ces théories. Il a également écrit une tribune dans le Hartford Courant [le quotidien de Newtown] en dénonçant les conspirateurs, y compris, Wolfgang Halbig, un retraité de soixante dix ans, l’un des principaux enquêteurs du complot qui a demandé la publication de documents officiels relatifs à la tuerie qu’il publie sur son site internet appelé le Sandy Hook Justice Report.
    En mai 2014, Halbig a parlé à une réunion du rectorat de Newtown: « Ce sont vos enfants, nous voulons la vérité » a-t-il déclaré.

    Wolfgang Halbig continue de promouvoir ses théories sur son compte Twitter, dont certaines concernant la tuerie de Parkland qui a eu lieu de 14 février dernier en Floride.

    * « The Sandy Hook Hoax » de Reeves Wiederman – New York

 

 

 

 

 

 

8. American Horror Story: « Apocalypse »

 

 

 

  • Tout ce qu’on sait de la huitième et avant dernière saison de American Horror Story »
    • Le titre: « Apocalypse » qui mélangera les personnages de la première saison, « Murder House », de la troisième, « Coven », et
    • La date de diffusion: le 12 septembre prochain sur FX;
    • Le casting:
      * La plupart des sorcières de la troisième saison, « Coven » sont de retour: Taissa Farmiga, Gabourey Sidibe, Lily Rabe, Frances Conroy, and Stevie Nicks.* Jessica Lange, absente de la saison cinq, sera également de retour avec un nouveau venu, Cody Fern (The Assassination of Gianni Versace: American Crime Story) qui jouera son fils adoptif antéchrist Michael.

      * les acteurs et actrices Kathy Bates, Evan Peters, Billy Eichner, Leslie Grossman, Cheyenne Jackson, Billie Lourd, Billy Porter, and Adina Porter seront également de la partie.

 

 

 

 

9. On vit une époque formidable

 

  • Steven Seagal, l’ancienne star de film d’action, producteur, scénariste, réalisateur, chanteur et musicien et spécialiste des arts martiaux, devenu récemment citoyen russe, a été engagé par Vladimir Poutine pour améliorer les relations entre la Russie et les Etats-Unis.  NYT
  • Robert Redford, 81 ans, a annoncé sa retraite d’acteur après cinquante-six ans en haut de l’affiche. Son dernier film, The Old Man & The Gun, sortira cette année. EW
  • Lebron James va produire un docu-série en trois épisodes pour Showtime intitulé « Shut Up and Dribble » (« Ta Gueule et dribble ») en référence à l’insulte lancée par Laura Ingraham, présentatrice de Fox News, au joueur de basket américain en février dernier. Il s’agit d’évoquer l’évolution du rôle de l’athlète dans le contexte politique actuel. Variety
  • Après plusieurs actes de vandalisme, la ville de West Hollywood a décidé de retirer, l’étoile de Trump, du Walk of Fame de Hollywood, à cause de son traitement des femmes, des immigrés et des Mexicains. NYPost
  • Pour la première fois, des hommes vont danser avec les cheerleaders des équipes de football américain de LA (Rams) et de la Nouvelle Orleans (Saints). Je me demande si Trump va commenter là-dessus. CNN

 

 

 

 

 

10. Couverture du jour

  • C’est la quatrième couverture de Beyonce pour le Vogue américain, la seconde pour le prestigieux numéro de septembre et la première photographiée par un jeune artiste afro-américain de 23 ans, Tyler Mitchell.

 

Published in Revue de presse