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Happy Tuesday!

Des élections primaires ont lieu aujourd’hui en Arizona, dans l’Oklahoma et en Floride, ce sont les dernières avant celles de mi-mandat le 6 novembre prochain.
Dans le « Sunshine State », 10% de la population adulte, soit un million et demi de personnes n’ont pas le droit de voter à cause de condamnations antérieures.


Trois joueurs
ont abandonné le tournoi de l’US Open mardi à cause de la vague de chaleur qui s’est abattue sur New York où le mercure est monté à près de 37 degrés celsius et la température ressentie a atteint les 41 degrés.
Il devrait faire aussi chaud demain.

Si vous souhaitez inscrire vos amis, votre famille, vos collègues à cette revue de presse, c’est une très bonne idée et c’est ICI  

 

1. Les quotidiens

  • Fusillade en Floride: Trois morts

    La fusillade a eu lieu dimanche après midi lors d’un tournoi de jeu vidéo à Jacksonville en Floride. L’un des participants, David Katz, 24 ans, originaire du Maryland, a ouvert le feu sur d’autres joueurs présents, faisant deux morts et onze blessés avant de retourner l’arme contre lui. La police n’a rien indiqué concernant les motivations du tueur.
    Sara Fischer note dans Axios que de « plus en plus, les gens utilisent les plateformes de diffusion en direct et leur immense popularité pour commettre des actes de violence ».

    Ni le président, ni la National Rifle Association, le puissant lobby des armes, n’ont réagi, ni offert leurs condoléances.

    Des élections primaires ont lieu aujourd’hui en Floride, et le sujet très controversé des armes à feu, six mois après la fusillade de Parkland qui a fait dix-sept morts et la formidable mobilisation des certains étudiants survivants pour un renforcement de leur contrôle, devrait compter plus que jamais.

 

  • Tentative ratée de la restriction du droit de vote en Alabama.

    La commission électorale du comté de Randolph, en Géorgie, a rejeté vendredi une proposition visant à fermer, avant les élections de novembre prochain, sept des neufs bureaux de vote qui n’étaient pas proprement équipés pour l’accès des personnes handicapées.

    La proposition [visant à regrouper les neuf circonscriptions en deux grandes] a été beaucoup critiquée parce qu’elle aurait réduit la mobilisation dans un comté à majorité afro-américaine, où des électeurs sans voitures auraient dû marcher quinze kilomètres pour se rendre à un bureau de vote.
    [Beaucoup d’associations de défense des droits civils] pensent que le véritable objectif était de limiter le vote des Démocrates dans un comté où 55% des électeurs ont soutenu Hillary Clinton en 2016.

    La consolidation des circonscriptions a été proposée par Mike Malone, un consultant qui a donné 250 dollars à la campagne du [républicain Brian] Kemp [qui affronte la Démocrate Stacey Abrams au poste de gouverneur de l’Alabama en novembre prochain].
    Atlanta Journal Constitution

    La stratégie qui n’est pas nouvelle

    Les associations affirment que les élus républicains et responsables des élections du comté de Randolph ne sont pas les premiers à utiliser l’American with Disabilities Act (ADA), censé protéger la population handicapée, contre les discriminations pour empêcher le vote de certaines minorités.

    Sous le président Trump, le Département de Justice a pris des mesures coercitives dans cinq comtés qui n’étaient pas conformes aux critères stricts de l’ADA. Quatre des cinq locations ont une large proportion de minorités.
    L’administration Obama en a pris neuf en dix ans.
    Tucker, un avocat et membre de la Native American Voting Rights Coalition, pense que la cadence des mesures correspond à une stratégie du DOJ de Trump d’empêcher certains électeurs de voter.
    Think Progress

    Malone a été viré vendredi matin.

 

 

  • Emmett Till, l’enquête continue


    C’est l’un des pires crimes racistes que l’Amérique ait connu, encore marqué par nombreuses zones d’ombre, 63 ans après les faits.

    Ce dont on est sûr, c’est queles deux meurtriers blancs du jeune Emmett Till, enlevé, lynché et abandonné dans une rivière le 28 août 1955, pour avoir fait des avances à une femme blanche, ont été acquittés en une heure par un jury blanc du Mississippi, avant d’avouer publiquement les faits peu après.

    Le mois dernier, le Département de Justice américain a réouvert l’enquête sur « la base de nouvelles informations ».
    Impossible de savoir si elles ont eu un rapport avec l’enquête de l’historien Timothy Tyson, publiée en janvier 2017, qui affirme que Carolyn Bryant, la « femme blanche offensée » n’aurait jamais été accostée, ni même sifflée par Emmett Till, 14 ans, à l’époque comme elle l’avait affirmé lors du procès de septembre 1955.
    D’autres individus que le mari de Carolyn, Roy et son demi-frère, J.W.Milam, seraient impliqués dans le meurtre barbare qui a laissé la victime défigurée – la photo du visage méconnaissable de Emmett Till, dans son cercueil laissé volontairement ouvert par la mère, choquera le monde entier.

    L’affaire et l’acquittement des meurtriers et la fameuse photo ont contribué à la création du mouvement afro-américain des droit civiques aux Etats-Unis.

    * « Emmett Till’s Legacy: Exposing the decades of lies » – The Clarion Ledger 
    * « The Blood of Emmett Till » de Timothy Tyson
    * « The Untold Story of Emmett Louis Till » de Keith Beauchamp

 

 

 

2. John McCain, la mort d’un « American Hero »

 

  • John McCain 1936-2018

    Il y a certains décès qui vous frappent plus que d’autres. Vous vous souvenez du moment où vous avez appris la nouvelle, comment vous l’avez appris, où vous étiez. Vous pouvez presque revivre le moment dans votre tête. Je pense parler pour beaucoup de gens quand la mort de John McCain m’évoque l’un de ces moments.

    Comme beaucoup d’Américains qui pleurent McCain, je ne l’ai jamais rencontré, je n’ai jamais eu le privilège de l’interviewer ou d’interagir avec lui à un niveau personnel.
    Mais McCain était l’une de ces personnes que vous pensiez connaître. Sa présence intrinsèquement liée à la politique américaine. C’est franchement difficile d’imaginer la politique sans lui – surtout quand son style frondeur fait si cruellement défaut dans le climat politique actuel.
    Reliable Sources

    Les Américains savaient que les jours du président de la Commission des Forces Armées du Sénat étaient comptés depuis qu’il avait annoncé souffrir d’une tumeur du cerveau en juillet 2017.
    Elle est arrivée le lendemain de l’arrêt de son traitement médical qui l’avait éloigné de Washington depuis des mois.

    L’annonce de sa mort samedi après midi a néanmoins choqué et attristé le pays.

    La plupart des personnalités politiques du pays – Mitch MCConnell, Paul Ryan, Lindsey Graham, Hillary Clinton, Barack Obama, George W Bush, Newt Gingrich, Chuck Schumer, Nancy Pelosi, Joe Biden – lui ont rendu hommage.
    Après un communiqué laconique ce week-end, le président a finalement offert ses condoléances lundi soir.

    Comme l’explique Dave Pell dans Nextdraft, hier

    Oui, on a pu avoir des désaccords majeurs avec les politiques de McCain, oui ces politiques ont eu des répercussions. Mais invoquer ces différences aujourd’hui, c’est renier toute l’importance de son héritage.
    On peut être en désaccord avec John McCain et continuer  le respecter.
    McCain a invité ses deux principaux adversaires politiques [Obama et George W Bush] à prononcer des éloges funèbres lors de ses obsèques. C’est tout le symbole de ce moment. A bien des égards, c’est le symbole de l’Amérique. 

    Un office religieux aura lieu samedi dans la cathédrale de Washington auquel ne devrait pas assister le président.

 

 

 

3. « Ce sont les mots de John »

 

 

  • Lundi soir, le conseiller et porte parole de McCain, Rick Davis, a lu la dernière lettre du sénateur McCain au peuple américain:

    Mes compatriotes, j’ai vécu et je meurs en étant fier d’être américain. Nous sommes les citoyens de la plus grande république du monde, une nation d’idées, pas de sang ni de sol (…)
    Nous affaiblissons notre grandeur lorsque nous confondons notre patriotisme avec des rivalités tribales qui ont semé le ressentiment, la haine et la violence dans tous les coins du monde. Nous l’affaiblissons lorsque nous nous cachons derrière les murs, plutôt que de les démolir; lorsque nous doutons du pouvoir de nos idéaux, plutôt que de croire en la force de changement qu’ils ont toujours été.

    Nous sommes 325 millions d’individus critiques et virulents. Nous nous disputons, nous nous confrontons et nous nous vilipendons parfois dans des débats publics animés. Mais nous avons toujours eu bien plus en commun les uns les autres qu’en désaccord. Si seulement nous nous souvenons de cela, si nous assumons que chacun d’entre nous aimons notre pays, alors nous surmonterons cette période difficile. Nous en sortirons plus fort qu’avant, comme nous l’avons toujours fait.

     

 

 

 

 

4. QAnon s’invite à la Maison Blanche et dans les familles

 

 

  • « La théorie de toutes les théories » s’invite dans le bureau ovale

    QAnon, c’est la théorie du complot apparue en octobre 2017 sur le forum 4chan, qui affirme, selon des documents classés top secret, que le « Deep State » cherche à renverser Donald Trump et que certains Démocrates et libéraux du monde politique et de Hollywood entretiennent un réseau pédophile international.

    La théorie est si populaire chez certains supporters de Donald Trump qu’ils ont commencé à la promouvoir dans les meetings du président cet été et la semaine dernière, l’un de ses promoteurs, Michael Lionel Lebron, a été invité dans le bureau ovale.
    Si ce dernier est mini-célébrité sur YouTube – sa chaîne « Lionel Nation » a plus de 200 000 abonnés – et apparait souvent comme « analyste juridique et média » sur la chaîne du gouvernement russe, RT, impossible de savoir comment il a pu réussir à rencontrer personnellement le président. WaPo

    Selon Will Sommer du Daily Beast:

    Les quatre responsables de la Maison Blanche à qui The Beast a parlé étaient incapables de savoir quand et comment c’est arrivé. Deux de ces responsables de la West Wing n’ont pu s’empêcher de rire: « Ce président est le président de tous les Américains » a plaisanté l’un d’eux, « y compris des complotistes ».

    Il est improbable que Lebron et sa femme aient pu se retrouver là par hasard lors d’une simple visite de la Maison Blanche. Ceux qui sont familiers avec le fonctionnement du Bureau Ovale affirment que la seule façon d’obtenir une séance photo entre le président et des visiteurs est de passer par un haut fonctionnaire qui les y autorise.

  • … Et dans les familles

    Pour certaines familles dans lesquelles la politique est un sujet délicat, la présence d’un adepte de Qanon peut transformer la dynamique familiale en un concentré d’émotions brutes et la mettre à rude épreuve.
    (…)
    Avant que [Blake] Sohn parle de QAnon à [sa petite amie Kim] Holmberg, les complots n’avaient aucune place dans leur relation [de dix-huit mois] (…) Le couple, tous les deux [soixante ans et] de fervents usagers de twitter, ont fait beaucoup d’efforts pour ne pas ruiner leur relation (…) mais les discussions se sont tendues quand Sohn a commencé à parler de QAnon à Holmberg.
    Elle raconte qu’en février, il lui a montré une vidéo intitulée « Le Grand Réveil », un thème central de QAnon qui vise à se libérer « Deep State », ce groupe de bureaucrates qui essayent de contrôler le pays, et révéler la vérité.
    Selon lui, explique Holmberg, les adeptes de Q [un anonyme à l’origine de QAnon]- qui construit des théories à partir des tweets du président, les données du gouvernement et des sites d’information – sont « des gens décents, qui ne recherchent ni la gloire, ni l’argent, et ne sont pas non plus des complotistes fous ».

    « Alors Je lui ai demandé de me le prouver ».

    Leurs conversations sur Q peuvent se terminer en larmes. Lorsque ça se produit, Holmberg et Sohn se retirent dans différentes pièces pour se rafraîchir avant de se retrouver et convenir que « l’amour est plus important que la politique ».

 

 

 

 

 

5. The Red Thought: « Comment penser le privilège »

 

  • Depuis la fin des années 80, le concept de « privilège blanc » (« white privilege ») s’est imposé dans le milieu universitaire, chez les Démocrates et Progressistes pour expliquer les privilèges économiques, sociaux et politiques des blancs sur les autres minorités.
    Selon Peggy McIntosh, les blancs bénéficient dans de nombreuses sociétés occidentales d’un « ensemble invisibles d’avantages non mérités », considérés comme la norme, qui leur permet de masquer les inégalités sociales.L’intellectuel afro-américain Ta-Nehisi Coates, auteur du célèbre « Between the World and Me » résume le concept de cette manière:Quand on est blanc dans ce pays, on vous apprend que tout vous appartient. Vous pensez avoir droit à tout … vous êtes conditionné de cette façon.
    Ce n’est pas à cause de la texture de vos cheveux et la couleur de votre peau. Ce sont les lois et la culture qui vous le disent. Vous avez le droit d’aller où vous voulez, de faire ce que vous voulez, d’être qui vous voulez – Et les gens doivent simplement s’adapter à vous.
  • Dans National Review, Graham Hillard critique cette vision « qui permet à [Coates] de substituer une abstraction menaçante [les blancs] à une discussion réelle sur les inégalités extrêmement compliquées de la société américaine. »
    Ces inégalités comptent. Le privilège est important.
    Mais le privilège n’est pas réductible à la blancheur.
    Et si être blanc agit vraiment comme un porte bonheur (Coates) ou représente un « problème moral » (The New York Times magazine) qui « déforme la réalité » – si l’apprivoiser, la vaincre, l’éliminer ou la surmonter est la seule réponse à tous nos problèmes – alors nos problèmes ne seront pas résolus avant que la majorité des Américains [les 60% de blancs] apprenne à détester la couleur de leur peau. L’homme dans le bureau ovale est prêt à parier que cela n’arrivera pas. Qu’en est-il des progressistes?

    Pour chaque essai déplorant l’existence du privilège blanc, on peut suggérer à l’auteur de se rendre dans le Kentucky. Et de constater quelque chose difficile à nier: Qu’à une époque où les Blancs américains font face à une épidémie d’opioïdes, à des divorces, à des »décès de désespoir » à des taux effarants et effrayants, il est impossible de dire que l’ascendance européenne fonctionne comme une sorte de combinaison de protection.
    (…)
    Même si nous devons écouter les progressistes – en acceptant par exemple leur idée selon laquelle une société équitable ne peut être construite que si les blancs « reconnaissent [leur] privilège et deviennent plus humbles », pour citer de Hillary Clinton – il n’en reste pas moins que la stratégie de la gauche qui consiste à intégrer ce message dans chaque éditorial, conférence et programme télévisé du pays ne fonctionne tout simplement pas. Si le but est de diaboliser les blancs, continuez.
    Si l’objectif est de changer les coeurs et les esprits, notre réalité politique actuelle suggère qu’une approche différente est sans doute nécessaire. 

    Je pense que la Gauche rendrait un grand service au pays en séparant la rhétorique du privilège à celle de la race. C’est assez dur de convaincre un individu que ses réalisations ne sont pas uniquement le résultat de son propre mérite. Mais utiliser la race comme la synecdoque de ses avantages est inexacte et source de division inutile.
    On peut continuer à le faire mais je soupçonne que l’élection de Donald Trump n’en sera pas l’unique conséquence.  

    * « How To Think About Privilege » de Graham Hillard – National Review

    A lire aussi:
    * « How Ta-Nehisi Coates Gives Whiteness Power » de Thomas Chatterton Williams – The New York Times 

 

 

 

 

 

6. Instagram, nouveau pollueur?

  • Les influenceurs « outdoor » (nature et voyage) – ayant acquis des milliers d’abonnés en postant des photos de paysages uniques sur Instagram – représentent un phénomène relativement nouveau, financé par les marques, pourrait finir par avoir un effet négatif sur l’environnement qu’ils sont censés promouvoir.

    Tous les influenceurs nature ne partagent pas la passion de [Katie Boué] pour le militantisme [écologique] mais avec la croissance d’Instagram ces dernières années, beaucoup ont été entraînés dans le débat croissant sur l’utilisation responsable des médias sociaux dans la nature. 
    D’un côté, il y a l’idée que poster des paysages naturels est une invitation à les découvrir (#OptOutside). De l’autre, on peut craindre que les photos de ces randonnées ou geysers cachés n’attirent un flot de visiteurs sans disposer des ressources nécessaires pour les accueillir.

    En 1999, le « Leave No Trace Center for Outdoor Ethics » (LNT) a publié sept règles pour ne « laisser aucune trace » et communiquer les meilleurs conseils pour profiter de la nature de manière responsable ».
    Depuis, des groupes comme les « Hikers for an 8th Leave No Trace Principle » ont décidé d’imposer une nouvelle règle: celle d’être « attentif quand vous postez sur les médias sociaux et pensez à l’impact potentiel de la création d’un « buzz » sur des destinations spécifiques. »

    La prudence à laquelle ils réfèrent est liée à la géolocalisation sur Instagram, qui permet partager l’emplacement où une photo a été prise. Si vous mentionnez une étiquette comme « Yosemite », vous trouverez toutes les photos publiques associées à cette location. Mais la géolocation peut être spécifique, et c’est là que les problèmes commencent.
    « Nous avons beaucoup de problèmes avec les gens qui démarquent des endroits cachés ou sensibles » déclare Mme Boué, en ajoutant que ces lieux n’ont pas toujours l’infrastructure nécessaire pour accueillir de nombreux visiteurs.

    * « How the Rise of Outdoor influencers is Affecting the Environment » de Zoe Schiffer – Racked 

 

 

 

 

7. Teaser Trailer: True Detective, saison 3

 

 

 

  • Après une deuxième saison raillée par la critique, la troisième saison de True Detective, diffusée en janvier 2019 sur HBO, écrit par Nic Pizzolatto, tourne autour du meurtre macabre de deux enfants disparus dans le coeur de la région des monts Ozark dans l’Arkansas dans l’Arkansas. L’histoire se déroule sur trois décennies.
    Le détective Wayne Hays est interprété par Mahershala Ali (« Moonlight ») et son partenaire, Roland West par Stephen Dorff (« Immmortals »). HBO

 

 

 

 

8. On vit une époque formidable

  • « Comment tu peux rester marié à un homme pareil? »
    Duncan Hunter, le représentant républicain de Alpine en Californie, accusé avec sa femme d’avoir détourné 250 000 dollars de fonds de campagne rejette désormais toute la faute sur son épouse, qui fut sa manager de campagne. Politico
  • Alice Tapper, onze ans, la fille du présentateur star de CNN, va publier un livre pour enfants en collaboration avec la dessinatrice Marta Kissi, intitulé « Raise Your Hands ». L’idée lui est venue lors d’un camp de scoute après avoir remarqué que les garçons parlaient et les filles restaient silencieuses. AP
  • Le wide receiver star Odell Beckham Jr vient de prolonger son contrat avec les New York Giants pour 95 millions de dollars sur cinq ans. The Bleacher Report
  • New York City a condamné l’agence immobilière de la famille Kushner à payer 210 000 dollars pour avoir déposé 42 fausse demandes de permis de construire pour douze différentes adresses  – pour augmenter les loyers dits « stabilisés » garantis par la mairie – quand Jared Kushner était en charge. NPR
  • Les attaques répétées du président de son administration contre les musulmans  a eu un effet auquel ils ne s’attendaient sans doute pas: La plupart de nombreux candidats musulmans aux élections de mi-mandat. NBC News

 

 

9. Couverture du jour

  • « Closing In », c’est la dernière couverture de Barry Blitt, le dessinateur attitré de Donald Trump pour le New Yorker, qui s’inspire d’une scène de la série « The Sopranos » pour représenter les menaces qui se rapprochent du président après la condamnation de Paul Manafort, son ancien directeur de campagne, et l’aveu de culpabilité de Michael Cohen, son ancien avocat personnel, la semaine dernière.

Published in Revue de presse