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L’ouragan Florence, devenue une tempête tropicale, continue ses ravages dans les Carolines avec un bilan de 23 morts.

 

Trump est prêt à retarder la confirmation de Brett Kavanaugh, candidat à la Cour Suprême, accusé d’une tentative de viol qui aurait eu lieu au début des années 80.

 

Enfin, Soon-Yi, la femme de Woody Allen, s’exprime pour la première fois sur sa mère adoptive, Mia Farrow, et les accusations contre son mari … Et c’est pas joli.

 

 

 

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1. Florence: « a slow-motion assault » sur les Carolines

 

 

 

  • L’ouragan a bien ravagé les deux Carolines ce week-end provoquant la mort de 23 personnes et près de 800 000 foyers privés d’électricité. Selon USA Today: « 3% seulement des maisons de Caroline du Nord sont assurées contre les désastres naturels comme Florence » et « seulement 10 à 20% des propriétaires de la partie Est de l’Etat, la plus touchée, sont couverts par le programme public d’assurance habitation contre les inondations.

 

  • La semaine dernière, The Daily, l’excellent podcast du NYT, a diffusé « Lost in the Storm », l’histoire d’un sauvetage impossible au Texas après le passage de l’ouragan Harvey en septembre, qui permet de comprendre les problèmes auxquels font face les secours, même les mieux préparés.   Partie 1 & 2

 

 

 

2. Les quotidiens

  • La perpette pour des crimes non-violents

    Près de 34 ans plus tard, Grayer est toujours derrière les barreaux pour le cambriolage d’un appartement inhabité, et le prisonnier de 66 ans, victime d’une attaque cérébrale qui lui a paralysé le côté droit, n’a aucun espoir de sortir car sa peine a été prononcée sous la loi dite « three strikes and you’re out ».
    Jusqu’ici la détention a coûté 600 000 dollars au contribuable, sans compter les dépenses de santé.
    (…)
    La loi dite du « three strikes » avait pour but de débarrasser les rues des violents criminels, mais elle a été votée sous une forme bien plus radicale, puisqu’il suffit qu’une seule des trois infractions soit violente pour condamner le prévenu à la prison à vie.
    Dans le Mississipi, la peine était encore plus sévère – une condamnation à perpétuité automatique sans libération conditionnelle si les deux précédents crimes étaient passibles d’une peine de un an ou plus de prison
    . Clarion Ledger

     

 

  • « La Cinquième jeune fille »

    Le dimanche 15 septembre 1963, quatre membres du Ku Klux Klan ont déposé quinze bâtons de dynamite attachés à un retardataire, devant l’église baptiste de la 16ème rue, à Birmingham en Alabama.  
    Quatre adolescentes afro-américaines (Denise McNair, Carole Robertson, Cynthia Wesley and Addie Mae Collins) sont décédées dans l’attentat raciste dénoncé par Martin Luther King comme « l’un des crimes les plus vicieux et tragiques contre l’humanité ».
    Une cinquième adolescente et soeur d’une des victimes, Sarah Collins, grièvement blessée par des éclats de verre, a perdu l’usage d’un oeil et restée hospitalisée pendant des mois.
    Handicapée et traumatisée, elle n’a jamais reçu d’aides de la ville ou du gouvernement et a travaillé toute sa vie comme femme de chambre.

    Même si le FBI a identifié les responsables dès 1965, il a fallu attendre 1977 pour que l’un d’entre eux soit condamné pour le meurtre de la plus jeune victime, onze ans. Deux autres ont été reconnus coupable des quatre meurtres et condamnés à la prison à vie en 2001 et 2002, presque quarante plus tard. Le dernier suspect, mort en 1994, n’a jamais été inculpé. Birmingham News

    Spike Lee a réalisé un documentaire dessus, intitulé « 4 Little Girls »

 

  • « Statu-Cuomo » dans l’Etat de New York

    Le gouverneur Cuomo a fait un pas décisif vers un troisième mandat jeudi, et réprimé une rébellion libérale incarnée par Cynthia Nixon en remportant l’investiture démocrate de New York.
    M.Cuomo a reçu le soutien de presque toutes les grandes figures démocrates – élus, dirigeants du parti, syndicats et les riches intérêts immobiliers – pour vaincre Mme Nixon, avec un pourcentage de trente points.
    La campagne a consolidé la réputation de M. Cuomo qui s’impose comme la force incontestée de la politique de [l’Etat] de New York et un tacticien impitoyable qui n’a aucun égard pour la diplomatie.
    La première candidature de Mme Nixon a ouvert la voix à la lutte pour la direction du Parti démocrate à New York et au-delà, en offrant un libéralisme pur contre le pragmatisme de M. Cuomo, dont le style est moins défini par l’idéologie que parce qu’il est capable d’achever
    . NYT

     

 

 

 

 

3. L’énigme Julia Salazar

  • A 27 ans, Julia Salazar, la candidate du parti des Socialistes Démocrates d’Amérique (DSA) a remporté les primaires démocrates de la 18ème circonscription de l’Etat de New York (qui comprend les quartiers de Williamsburg, Bushwick et Cypress Hill), la semaine dernière, contre le sénateur sortant, Martin Malave Dilan, et prendra sa place en novembre prochain, en raison de l’absence d’adversaire républicain.Comme Alexandria Ocasio Cortez, elle aussi socialiste et latino, Salazar incarne le nouvel élan « populiste et progressiste » du parti démocrate, inspiré par la campagne de Bernie Sanders, qui milite pour une sécurité sociale universelle, l’enseignement supérieur gratuit et la suppression de l’ICE, l’agence fédérale de police aux frontières. New Yorker

 

  • Le problème que certains journalistes et critiques ont avec Cortez n’a rien avoir avec l’évolution drastique de ses opinions politiques …

    En moins d’une décennie, elle est passée de « pro-life » à « pro-choice ». De chrétienne sioniste conservatrice à une militante du mouvement Boycott, Divestment and Sanctions contre Israël. De républicaine à progressiste qui essaye d’enrayer le capitalisme et abolir l’ICE.

    … mais c’est son passé qu’elle a « réinterprété » à des fins électorales, comme le décrit Bari Weiss – une conservatrice – dans un portrait au vitriol de la candidate.

    Il y a quelques semaines, Ms Salazar était à Alexandra Ocasion-Cortez, ce que Robin est à Batman. Immigrée colombienne diplômée de Columbia. Une juive métisse de classe moyenne élevée par une mère célibataire sans diplôme qui a travaillé dur pour nourrir sa famille, recueillant des portraits élogieux dans le Village Voice et New York magazine.
    Le problème: Seulement quelques unes de ces informations sont vraies.
    Mme Salazar est née dans le Sud de la Floride, élevée dans une famille catholique, et l’histoire de sa conversion [au judaïsme], que personne ne peut vérifier, continue de changer. Elle n’a jamais été diplômée de Columbia, contrairement à sa mère, qui a fini ses études. Elle a grandi confortablement dans une famille de classe moyenne. Elle a même un trust fund.

    C’est la propre famille de Salazar, inquiète de voir comment leur passé était décrit dans la presse, qui a tenu à rectifier une partie des faits. Mme Salazar s’est défendue en affirmant que son frère Alex était « très à droite et très anti-socialiste ».
    On a rarement vu l’intégrité d’une candidate être davantage critiquée par sa famille que par son adversaire politique.

    Peu importe le nombre de choses inventées par Mme Salazar, il serait injuste de la comparer à notre président « détaché de la vérité », dont les mensonges, bien plus importants peuvent provoquer beaucoup plus de dégâts.
    Pourtant, la volonté des supporters de Salazar de ne pas y accorder d’importance rappelle familièrement les justifications des supporters de Trump en 2016: oui, il est répugnant et il aime exagérer. Mais il a promis de faire passer des politiques que nous approuvons. Le soutenir est le prix à payer pour atteindre cet objectif.

    * « Julia Salazar, the Left’s Post-Truth Politician » de Bari Weiss – NYT

    * « Julia Salazar, the socialist politician accused of lying about her past, explained » de Zack Beauchamp – Vox

 

 

 

 

 

4. Trumplandia: Kavanaugh face à #MeToo

 

  • Mercredi, la sénatrice démocrate de Californie, Dianne Feinstein, a confirmé les révélations de The Intercept, selon lesquelles elle avait reçu « le témoignage d’un individu sur Brett Kavanaugh » – candidat au poste de juge de la Cour Suprême – « qui avait demandé à rester anonyme et refusé d’aller plus loin ». Elle a ajouté avoir transmis ces informations au FBI, qui les a données au Comité Judiciaire du Sénat, en charge de la confirmation de Kavanaugh.Jeudi, le New York Times a évoqué « l’éventualité d’une agression sexuelle » et vendredi, le New Yorker a publié les détails de la fameuse lettre envoyée à Feinstein, sans révéler l’identité de l’auteure.Le Comité judiciaire du Sénat, présidé par des Républicains, a alors dénoncé les « tactiques et motivations des Démocrates » et l’initiative aussi tardive de la sénatrice Feinstein, de ne révéler la lettre, reçue en juillet, que jeudi.
    Il a également mentionné une lettre de « 65 femmes qui connaissent [Kavanaugh] depuis le lycée et qui ont souligné son caractère impeccable et son respect, surtout envers les femmes. »

 

  • Dimanche, l’auteure des accusations a décidé de révéler son identité au Washington Post:

    Plus tôt cet été, Christine Blasey Ford a écrit une lettre confidentielle à un parlementaire démocrate de haut rang, affirmant que le candidat à la Cour Suprême, Brett Kavanaugh, l’avait agressée sexuellement il y a plus de trente ans, lorsqu’ils étaient lycéens dans la banlieue du Maryland.

    Depuis mercredi, une version de son histoire a été rendue publique, sans son nom, ni son consentement, et fermement démentie par Kavanaugh, qui a remis en cause sa nomination, encore certaine il y a quelques jours.

    Ford a décidé que si son histoire devait être révélée, ce serait à elle de le faire.

    Au delà de la description de l’agression sexuelle, la professeure de psychologie de 51 ans, ajoute qu’elle a « pensé un moment qu’il aurait pu la tuer (…) Il a essayé de m’attaquer et d’enlever mes habits ».
    Elle s’en est sorti lorsque qu’un autre étudiant, Mark Judge, et ami de Kavanaugh les a séparés.

    Détail important: Elle a contacté le Post début juillet lorsque Kavanaugh était sur la liste des derniers candidats potentiels sélectionné par Trump et avant sa nomination officielle.
    Elle a demandé à ce que son témoignage reste confidentiel par peur des répercussions qu’il pourrait avoir sur sa famille. Elle a contacté une avocate de Washington spécialisée dans ce genre d’affaires qui l’a fait passer, avec succès, au détecteur de mensonges.

 

  • Le témoignage de Mme Blasey change considérablement la donne: Le comité judiciaire entendra lundi prochain, les deux témoignages et le président s’est dit prêt à retarder le vote de confirmation de Kavanaugh si nécessaire. L’intéressé lui continue à nier les faits.On ne peut s’empêcher de penser à la confrontation de 1991 entre Anita Hill et Clarence Thomas, alors candidat à la Cour Suprême. Mme Hill avait témoigné du harcèlement sexuel dont elle avait victime lorsqu’elle travaillait pour Thomas, des années auparavant. Thomas a été confirmé avec la plus petite majorité jamais obtenue par un candidat (52 contre 48) et siège toujours à la Cour.

 

 

 

 

5. L’instagram du jour

  • Junior a encore frappé.Le fils aîné du président à la blague vaseuse facile, surtout quand il s’agit de défendre son papa, mais la dernière sur les accusations lancées contre Brett Kavanaugh, touche le fond. Littéralement.

 

 

 

 

6. Les travailleurs pauvres américains.

 

  • Le président américain ne cesse de vanter ces derniers mois l’excellente santé de l’économie américaine, à travers la création d’emplois et la baisse du chômage, sans préciser que des millions d’Américains vivent aujourd’hui dans la précarité tout en ayant un ou plusieurs emplois. 

    « Les travailleurs sans-abris » … En mai, Vanessa a finalement obtenu une place dans un logement social. Mais pendant près de trois ans, elle a appartenu aux « sans abris qui travaillent », une expression désormais nécessaire dans une société actuelle de bas salaires et de revenus élevés. Elle est aide-soignante à domicile (…) Elle a un emploi du temps régulier, aime son travail (…) gagne entre dix et quatorze dollars de l’heure, selon les clients (…) Après s’être occupé des enfants et de son diabète, Vanessa est capable de travailler 20 à 30 heures par semaine, ce qui lui rapporte environ 1200 dollars par mois, quand les affaires tournent bien. 

    Economie solide, emplois précaires … On nous assène que l’économie n’a jamais été solide. Le chômage jamais aussi bas, le Dow Jones a dépassé la barre des 25 000 points et des millions d’emplois restent vacants. Mais pour des gens comme Vanessa, la question n’est pas de savoir si elle peut décrocher un emploi – la réponse est très certainement oui. La question est plutôt de savoir quel genre de travail est accessible aux personnes non-diplômées? La réponse est: Des emplois qui ne permettent pas vivre.

    Le même taux de pauvreté depuis des décennies … Les travailleurs américains sont exclus des bénéfices qu’ils aident à générer, notamment à cause du déclin des syndicats. Au siècle dernier, les inégalités ont baissé au fur et à mesure que les syndicats ont augmenté, mais les transformations économiques et les attaques politiques ont paralysé l’organisation du travail, en renforçant les intérêts des entreprises et en désarmant les employés.
    Cette économie déséquilibrée explique pourquoi le taux de pauvreté aux Etats-Unis reste le même ces dernières décennies, même si les aides sociales par personne ont augmenté. Ce n’est pas que les programmes du « filet de sécurité » n’aident pas; au contraire, ils permettent chaque année à des millions de familles de vivre au-dessus du seuil de pauvreté. Mais l’une des solutions les plus efficaces pour lutter contre la pauvreté, c’est un travail avec un salaire décent, et ils sont rares pour des gens comme Vanessa.
    Aujourd’hui 41,7 millions de travailleurs – un tiers de la main d’oeuvre américaine – gagne moins de douze dollars de l’heure, et presque aucun patron ne leur offre de sécurité sociale.

    Travailleurs et chômeurs pauvres … Si les travailleurs pauvres réussissent mieux que les chômeurs pauvres, ce n’est pas tant le travail en soi, mais c’est leur statut d’employé qui leur donne accès à l’aide gouvernementale. Ca a entraîné une inégalité croissante en dessous du seuil de pauvreté, les travailleurs pauvres recevant plus d’aide sociale que els pauvres sans emploi abandonnés ou les travailleurs précaires, plongés dans la misère.

    Comment un pays avec un taux de pauvreté aussi élevé – plus que la Lettonie, la Grèce, la Pologne, l’Irlande et tous les autres membres de l’OCDE – peut prétendre être le meilleur pays au monde? La présence de Vanessa est un jugement. Mais plutôt que de se responsabiliser, l’Amérique renverse les rôles en blâmant les pauvres contre leurs propres misères.

    * « Americans Want to Believe Jobs Are the Solution to Poverty. They’re not » de Matthew Desmond – NYT mag

 

 

 

 

 

7. Soon-Yi v. Mia Farrow: Lavage de linge sale en public

 

 

  • Depuis 25 ans qu’elle est avec Woody Allen, l’ancien compagnon de sa mère adoptive, Mia Farrow, Soon-Yi, n’a fait qu’une seule déclaration sur sa relation avec le réalisateur new yorkais. C’était en août 1992 à Newsweek: « Je ne suis pas cette petite fleur retardée qui a été touchée et violée par un beau-père maléfique – certainement pas. »Cette semaine New York magazine publie le premier témoignage de Soon-Yi, âgée aujourd’hui de 47 ans, sur sa relation avec Allen, avec Farrow, le reste de la fratrie qui lui a tourné le dos, à l’exception de Moses.

    Ces derniers temps, Soon-Yi est considérée comme une complice, qui, à la suite de nouvelles accusations de Dylan Farrow selon lesquelles elle aurait été agressée sexuellement par son père adoptif, a continué de défendre Allen, dont la réputation est ruinée et les films, autrefois vénérés, réévalués à la lumière du mouvement #MeToo.

    Soon-Yi décrit Mia Farrow comme une mère abusive et froide, qui aurait poussé Dylan à accuser Allen d’attouchements sexuels pour se venger de la relation qu’il a engagé avec Soon-Yi.

    Farrow n’aurait jamais été maternelle envers elle, l’aurait toujours considérée simple d’esprit, l’aurait insulté, tapé avec une brosse à cheveux, favorisé ses enfants naturels « blond aux yeux bleus ».
    Le tout corroboré par Moses, un autre enfant adopté de Farrow, et le seul a défendre Allen contre les accusations d’attouchements sexuels de Dylan.
    Ils sont trois contre le camp Farrow, formé par Mia, Dylan, la victime et Ronan, journaliste et lauréat cette année du Pulitzer pour son enquête sur Harvey Weinstein.

    Le récit de Daphné Merkin, une amie de quarante ans de Woody Allen a provoqué l’indignation de Dylan et Ronan, qui a dénoncé l’initiative « honteuse », véritable « hit job » du New York magazine avant de conclure que « les survivants d’abus sexuels méritaient mieux. »

    * « Soon-Yi Previn speaks » de Daphne Merkin – New York magazine

 

 

 

8. Trailer: « 22 July »

 

 

  • « 22 july », c’est le thriller politique écrit, réalisé et co-produit par Paul Greengrass, sur l’attaque terroriste de Anders Breivik dans un camp d’étudiants de la ligue de jeunes du parti travailliste de Norvège sur l’île d’Utøya en juillet 2011, qui a fait 77 morts, 90 blessés graves et laissés trois cent autres traumatisés, sortira sur les écrans américains le 10 octobre prochain.Il s’intéresse moins au massacre en lui même, qu’a « l’impact qu’il a eu sur les victimes et sur le pays en général. Un répit cathartique face au nihilisme sanglant exposé partout ailleurs ». nymag

 

 

 

 

 

9. On vit une époque formidable

  • Michael Bloomberg, milliardaire et ancien maire de New York, a annoncé qu’il allait peut-être se présenter aux élections présidentielles de 2020, en tant que démocrate. Ses chances sont limitées: « The Problem with Michael Bloomberg For President. » Vanity Fair
  • Un autre périodique racheté par un milliardaire: @TIME va être vendu à Marc Benioff, le fondateur et propriétaire de Salesforce, une entreprise de logiciels de San Francisco pour 190 millions de dollars. NYT
  • Un agent de la « Border Patrol », en charge de surveiller la frontière mexicaine, a été arrêté au Texas et aurait avoué le meurtre de quatre femmes en deux semaines. Slate

 

 

 

10. Couverture du jour

 

  • Superbe couverture du dernier New York Times magazine qui combine une peinture de l’actrice Maya Rudolph, signée Vanessa Prager, dont le visage, les cheveux et l’une des mains ont été découpées et remplacées par le vrai modèle, Rudolph. Le tout photographié par Alex Pager pour illustrer les multiples visages de la comédienne.* « Maya Rudolph Became Master of Impressions » de Caity Weaver – New York Times magazine

Published in Revue de presse